À la purée de noix de cajou
J’ai découvert une recette de soupe de champignon sur le site de « marmiton » que j’ai transformée en velouté crémeux : une douceur pour les papilles. Pour réussir ce velouté, il faut être attentif à la quantité d’eau que vous ajouterez avec la cuisson des légumes. J’ai mis de la purée de noix de cajou au lieu de la crème fraîche traditionnelle.
Préparation : 20 min
Cuisson : 38 min
Ingrédients
- 500 g de champignons de Paris
- 4 pommes de terre moyennes (env. 350 g)
- 4 gousses d’ail
- 1 oignon
- 300 ml d’eau
- Poivre
- 1 cube de bouillon de légumes
- 1 cuillère à soupe de purée de noix de cajou
- Sel (facultatif)
Étape 1 : préparer les légumes
Épluchez les pommes de terre, l’oignon et l’ail.
J’utilise des champignons frais déjà émincés en barquette. Cela me permet de gagner beaucoup de temps en évitant de les nettoyer et de les trancher un par un.
Coupez les pommes de terre, l’ail et l’oignon en morceaux.
Mettez un peu de beurre dans une cocotte et ajoutez les champignons, les pommes de terre, les quatre gousses d’ail et l’oignon.
Étape 2 : la cuisson
Faites revenir pendant environ 8 minutes pour faire « suer » les champignons.
Versez 300 ml d’eau et laissez frémir à feu doux en mélangeant de temps en temps, pendant 10 minutes.
Ajoutez le bouillon de cube émietté et le poivre puis faites cuire encore 20 minutes en mettant un couvercle.
Lorsque c’est cuit, mettez une cuillère à soupe de purée de noix de cajou et mixez (avec un mixer plongeant) le velouté.
Servir chaud en ajoutant quelques croutons à l’ail.
Les infos et astuces de Gisou
- Je ne rajoute pas de sel à cette recette, le cube de bouillon apporte déjà une saveur salée.
- Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter une épice comme le muscade.
Personnellement, j’apprécie le parfum « nature » des champignons de Paris.- Si vous utilisez des champignons déjà prêts à cuire, mettez les dès le début dans la cocotte avec la noisette de beurre.
- Le champignon de Paris est le plus connu de tous les champignons et le plus consommé au monde. On le reconnait à sa chair blanche et à son chapeau tout lisse. Il se déguste aussi bien cru que cuit !